Aljamain Sterling révèle un aspect surprenant de Merab Dvalishvili, avant son combat contre O’Malley à l’UFC 316

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Alors que Merab Dvalishvili s’apprête à défendre sa ceinture de champion des poids coqs à l’UFC 316 face à Sean O’Malley, son ami et ancien champion Aljamain Sterling partage un témoignage troublant sur les capacités hors normes du combattant géorgien.

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Vainqueur de ses 12 derniers combats dans l’octogone, Dvalishvili affiche une série impressionnante et ne montre aucun signe de ralentissement. Devenu champion incontesté après sa victoire par décision unanime contre O’Malley lors de l’UFC 306, il a ensuite confirmé son statut en battant Umar Nurmagomedov en janvier dernier. Ce samedi à Newark, il retrouvera O’Malley pour une revanche très attendue.

Un style redouté, une pression constante

Critiqué par certains pour son manque de finitions (il n’en compte qu’une depuis son arrivée à l’UFC), Dvalishvili compense largement par une intensité physique hors du commun et un rythme étouffant. Grâce à une lutte inlassable et un cardio exceptionnel, il parvient à épuiser ses adversaires au fil des rounds. Un style qui en fait un véritable cauchemar à affronter.

Aljamain Sterling, qui s’entraîne régulièrement avec lui et le connaît bien, a récemment fait une déclaration surprenante :
« Quand tu le vois en action, c’est à peine s’il respire. Pas comme un humain normal… Peut-être qu’il vient d’ailleurs, il est juste différent. », a-t-il confié lors d’une interview pour l’UFC.

Des progrès techniques impressionnants

Au-delà de ses qualités physiques, Sterling souligne également l’évolution technique spectaculaire de Dvalishvili :
« C’est bluffant de le voir dominer comme ça. Il a battu d’anciens prétendants au titre, d’ex-champions… Et ce qui m’a tué, c’est qu’il a utilisé contre moi certaines techniques que je lui avais enseignées. Je n’ai pas pu m’empêcher d’éclater de rire : ‘Ce mec devient vraiment trop fort !’ »

Invaincu depuis plus de sept ans, Dvalishvili s’avance comme le favori pour cette revanche contre O’Malley. Reste à savoir si ce dernier aura su corriger ses erreurs passées, ou si « The Machine », comme le surnomme son entourage, confirmera une fois de plus qu’il évolue dans une autre dimension, comme le prétend Sterling.

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