De son côté, l’Atlético Madrid a battu Botafogo (1‑0) dans un match tendu. Pourtant, cette victoire ne suffit pas à sauver les Madrilènes, éliminés dès la phase de groupes. Une situation qui laisse un goût amer, malgré une performance héroïque d’Antoine Griezmann.
Un Griezmann au sommet, un collectif en panne
Auteur du but décisif à la 87e minute, Griezmann a une nouvelle fois été le sauveur de l’Atlético. Bien servi par Julián Álvarez, le Français a affiché une maîtrise technique rare. Pourtant, le reste de l’équipe a peiné à concrétiser ses nombreuses occasions : 23 tirs, mais un seul but inscrit.
Des choix tactiques contestés
Diego Simeone, souvent loué pour son pragmatisme, a surpris avec des choix tactiques audacieux. Le pressing haut a laissé des espaces que Botafogo a su exploiter, bien que maladroitement. De plus, la décision de ne pas titulariser certains cadres interroge dans un match crucial.
Une élimination symbolique
Ce revers symbolise les difficultés récentes de l’Atlético, qui peine à retrouver son statut de club incontournable sur la scène internationale. Simeone devra répondre à des questions sur son avenir, alors que le club semble pris dans une spirale de contre-performances.
Deux victoires, deux trajectoires opposées
Alors que le PSG s’affirme comme un prétendant sérieux au titre, l’Atlético quitte la compétition avec des regrets et des doutes. Un contraste saisissant entre deux géants du football européen.