Véronique Rabiot poursuit sa charge contre l’Olympique de Marseille après la mise à l’écart et le placement sur la liste des transferts de son fils Adrien. Après ses attaques sur RTL visant Pablo Longoria et Mehdi Benatia – qu’elle juge « dépassés par leurs fonctions » – la mère et agente du milieu de terrain s’est exprimée dans La Provence, évoquant cette fois le cas Mason Greenwood.
Selon elle, la différence de traitement entre les deux joueurs illustre la volonté des dirigeants marseillais de se séparer de son fils coûte que coûte. « Quand Greenwood a signé alors qu’il avait frappé sa compagne, De Zerbi a expliqué qu’il méritait une seconde chance. Je suis d’accord pour en donner, mais pourquoi Adrien n’aurait-il pas eu droit à la sienne ? », s’est-elle indignée.
Si Véronique Rabiot monte au créneau, Adrien, lui, minimise l’incident à l’origine de sa mise à l’écart. « Pour lui, c’était anecdotique. Je l’avais vu le samedi à La Commanderie, il avait fait ses soins comme d’habitude. On a déjeuné ensemble et il ne m’a rien dit. Quand j’ai appris sa suspension le lundi, je lui ai demandé pourquoi il ne m’avait rien dit. Mais pour lui, ce n’était qu’un épiphénomène », explique sa mère.
Le joueur, qui n’a pas encore pris publiquement la parole, devrait prochainement livrer sa propre version. Mais pour Véronique Rabiot, une chose est claire : l’histoire de son fils avec l’OM appartient désormais au passé.
